Le premier jour de la dernière année du deuxième millénaire au petit matin, la Cité des morts, au sud du Caire, le taxi s'arrête dans les encombrements, sur un auto-pont. En bas, un homme, un sac à la main, suit une piste dans la poussière de la ville. La pollution brumeuse adoucit la lumière du soleil levant, les minarets vibrent des appels à la prière de Shorouq.